Comment discuter avec sa fille?
Comment discuter avec sa fille?
Soyez présente pour elle. Si votre fille a l’air abattue, demandez-lui comment elle va. Si elle n’a pas envie de se confier à vous, n’en prenez pas ombrage et soyez l’épaule sur laquelle elle se penchera pour pleurer au moment venu. Gardez certains bons conseils en tête pour pouvoir l’aider.
Comment être proche de sa fille?
vouloir tout contrôler et diriger sa vie en considérant qu’elle est encore « notre petite fille » être régulièrement dans la critique et les reproches, donner sans arrêt des conseils avec notre propre filtre et selon nos propres expériences.
Comment réagir aux premières règles à sa fille?
Des explications simples sont préférables : « Expliquez-lui avec vos mots que l’arrivée des règles marquent la féminité avec des cycles ovariens, qu’à partir de ce moment là on est fécondable, avec la possibilité de devenir maman suite à des rapports sexuels ».
Est-ce que les adolescents doivent se trouver de nouveaux?
Les adolescents doivent s’en trouver de nouveaux : sécher les cours, fumer de la drogue, casser une voiture… Cela se fait souvent dans la violence, parce que l’adolescent qui s’est construit sans qu’un adulte lui fixe une limite va la chercher toujours plus loin. Est-ce si important de fixer une limite?
Quelle est la piètre image d’une adolescente?
De nombreuses adolescentes développent une piètre image d’elles-mêmes en même temps que les troubles alimentaires. Il est primordial de vous assurer que votre fille mange trois repas équilibrés par jour et apprécie le fait de se nourrir. Il ne faut pas la punir pour obtenir ce résultat.
Comment gérer les conflits avec les adolescents?
Pour gérer les conflits, ayez des discussions ouvertes, affirmez-vous et fixez les limites nécessaires. Familiarisez-vous avec les changements que connaissent les adolescents. Tout comme vous traversez des changements en tant qu’adolescente, il en est de même pour les garçons de votre âge.
Pourquoi les parents d’ados sont mal à l’aise?
Bien sûr. Les parents d’ados qui ont entre 40 et 50 ans sont mal à l’aise parce qu’ils ont essayé, avec la meilleure volonté du monde, de créer des liens différents avec leurs enfants. Or, aujourd’hui, ces enfants les enjoignent de jouer leur rôle de parents classiques !