Quels sont les services penitentiaires de probation?
Table des matières
Quels sont les services pénitentiaires de probation?
Les services pénitentiaires d’insertion et de probation (SPIP) sont des services déconcentrés de l’administration pénitentiaire au niveau départemental. Ces services sont rattachés au ministère de la Justice.
Comment sont transmises les propositions et les avis du CT?
Les propositions et les avis du comité sont transmis à l’autorité territoriale ; ils sont portés, par tout moyen approprié, à la connaissance des agents, dans un délai d’un mois. Le président du CT informe, dans un délai de deux mois, par une communication écrite, les membres du CT des suites données aux propositions et avis de celui-ci.
Qu’est-ce que le CT?
Le Comité Technique ( CT) est une instance consultative, composée des représentants du personnel et des représentants de la collectivité territoriale ou de l’établissement public dont le nombre est déterminé en fonction de l’effectif des agents en relevant. ATTENTION ! Les compétences du CT vont évoluer dès 2021
Qui sont les conseillers pénitentiaires d’insertion et de probation?
Les conseillers pénitentiaires d’insertion et de probation contrôlent le respect des obligations et des interdictions et préviennent la récidive en les accompagnant dans leur réinsertion. Le milieu ouvert prend en charge les personnes condamnées à des peines alternatives à l’incarcération ou bénéficiant d’aménagement de peine :
Comment agissent les personnels d’insertion et de probation?
A cette fin, les personnels d’insertion et de probation agissent en tant que : Aide à la décision judiciaire, en proposant des aménagements de peine au juge d’application des peines en fonction du parcours de vie du condamné, de l’acte de délinquance qu’il a commis, et de sa situation économique et financière.
Comment se préparer à la sortie de prison?
Aide à la préparation à la sortie de prison par le développement et la coordination d’un réseau de partenaires institutionnels et associatifs. Il s’agit alors de faciliter l’accès des personnes incarcérées aux dispositifs d’insertion de droit commun (logement, soin, formation, travail….)
Il existe aujourd’hui 103 services pénitentiaires d’insertion et de probation sur l’ensemble du territoire, certains SPIP regroupant deux départements .
Les conseillers pénitentiaires d’insertion et de probation contrôlent le respect des obligations et des interdictions et préviennent la récidive en les accompagnant dans leur réinsertion. Le milieu ouvert prend en charge les personnes condamnées à des peines alternatives à l’incarcération ou bénéficiant d’aménagement de peine :
Qui a inventé la peine de probation?
C’est en effet un fabricant de bottes de Boston, John Augustus, qui, sans le savoir, a inventé au XIXe siècle la « peine de probation » outre-Atlantique. En 1842, cet artisan philanthrope convainc un tribunal de lui confier la surveillance d’un délinquant alcoolique au lieu de l’envoyer en prison.
Quels sont les sièges de service pénitentiaire?
Chaque département dispose d’un siège de service pénitentiaire d’insertion et de probation et peut également avoir une ou plusieurs antennes de SPIP. Ces SPIP sont répartis dans différentes Directions Interrégionales de Services Pénitentiaires (DISP). Il existe 103 SPIP sur le territoire français.
Les services pénitentiaires d’insertion et de probation (SPIP) sont des services déconcentrés de l’administration pénitentiaire au niveau départemental. Ces services sont rattachés au ministère de la Justice.
Quelle est la durée maximale de la probation?
La probation, qui peut avoir une durée maximale de trois ans, est assortie de l’une ou de plusieurs des conditions suivantes : rendre des comptes à un agent de probation; s’abstenir de consommer de l’alcool et de faire usage de drogues à des fins non médicales; effectuer du travail bénévole;
A cette fin, les personnels d’insertion et de probation agissent en tant que : Aide à la décision judiciaire, en proposant des aménagements de peine au juge d’application des peines en fonction du parcours de vie du condamné, de l’acte de délinquance qu’il a commis, et de sa situation économique et financière.